Paroisse Saint Gilles à Chaineux
Contacts et infos
Equipe relais:
Germaine Wertz: 087/67.96.26
Fabrique d’église:
Sacristain:
Responsable des acolytes:
Non Nommé
Les Offices à Chaineux:
Eucharisties dominicales : en alternance avec la paroisse de Manaihant, le 1er et 3e dimanche du mois à 9h30.
Quand il y a un 5e dimanche, se référer, dans le menu, au bouton Messes dominicales.
Eucharisties en semaine: mardi à 9h00
L’église et/ou la chapelle est ouverte … (information non reçue)
Présentation de la vie paroissiale:
Fête de Sainte-Agathe et neuvaine: 5 février
Eucharistie et moments de prière à l'église: voir presse locale
Responsable: Janou Chefneux
Fête paroissiale de Saint-Gilles: 1er dimanche de septembre
Vénération des reliques et bénédiction de Saint Gilles
Procession paroissiale: tous les 5 ans (prochaine en 2018)
Pour une autre information, adressez-vous au Centre pastoral de Herve,
087/67 88 80
Son église
Dans un acte du 2 octobre 1671, Charles II d'Espagne autorise la construction d'une petite chapelle mais il fallait reconnaître Herve comme église-mère.
Les patrons de la chapelle, achevée en 1676, furent Saint Gilles (qu'on invoque spécialement contre les maladies nerveuses, la peur) et Sainte-Lucie. En 1703, sous l'impulsion des familles de Bosse, Penay et Liégeois, la chapelle devint paroisse. Mais, à cause de l'augmentation de la population à Chaineux provoquée par l'industrie textile, la (trop petite) chapelle est démolie en 1834 et, un mois plus tard, on pose la première d'un nouvel édifice, achevé en 1837.
A l'intérieur, l'église est décorée par 17 toiles peintes par l'artiste J. S. Renier (1818-1907). L'une d'elles représente St Gilles découvert dans une grotte par un roi et une autre, la Vierge avec l'Enfant donnant le rosaire à St Dominique.
Remarquons aussi plusieurs sculptures en bois dont (à gauche) une vierge de Renier Panhay de Rendeux, oeuvre s'inspirant de Delcour.
Présentation du saint Patron
SAINT GILLES
Né à Athènes vers 640
Mort le 1er septembre 720
La légende fait naître Gilles à Athènes. Il se serait installé dans la vallée du Rhône, à Arles pendant quelques temps. Après un pèlerinage à Rome, il se serait retiré dans une forêt près de Nîmes, se nourrissant du lait d'une biche apprivoisée : on le surnomma " le saint à la biche " Au cours d'une chasse, le roi Wisigoth Wamba qui poursuivait la biche aurait blessé l'ermite auprès duquel l'animal était venu se réfugier. Par contrition, le roi aurait offert la Vallée Flavienne à Saint Gilles et fait construire le Monastère, autour duquel se développa la ville de Saint-Gilles-du-Gard qui connut un grand rayonnement. Devenu abbé, il conseilla les Papes et les Rois qui protégèrent l'abbaye. C'est dans ce premier monastère, dont il ne reste rien, que mourut le saint et son culte se répandit rapidement ; on vint de très loin l'invoquer contre la peur, le feu, les maladies nerveuses et pour la protection des enfants. Il fut très populaire au Moyen Age, et son tombeau un des quatre plus importants lieux de pèlerinage de la chrétienté médiévale.
Patronne secondaire :
Sainte Lucie, fête le 13 décembre.